Épigénétique et transmission transgénérationnelle

Epigénétique et santé d’un organe

Chaque organe a un prisme émotionnel et stocke deux types d’énergies : l’inné (hérité à la naissance) et l’acquis (issu de l’alimentation et de l’environnement) qui se jouent sur l’épigénétique.
A titre d’exemple, l’émotion associée au rein est associée à la peur ; un déséquilibre peut se manifester par de l’anxiété ou un manque de volonté. Les soucis rénaux peuvent être en lien avec ces énergies. En se faisant aider en transgénérationnel au niveau corps esprit émotion énergie, il est possible de transmuter ces énergies y compris celles héritées à notre insu et d’influer positivement sur l’équilibre de santé globale.

En ce qui concerne le cas particulier des greffes, je vous invite à découvrir l’histoire de Charlotte Valandrey qui était tombée amoureuse du mari de sa donneuse cardiaque. Là, l’organe du cœur est affecté par les énergies innées et acquises du donneur et du receveur. Les cellules auraient une mémoire cellulaire en lien avec les traces de personnalité, des comportements, des expériences de vie et des apprentissages innés ou acquis. Ainsi, avec la transplantation des organes ou des tissus d’un corps à un autre, les mémoires le seraient aussi. Le receveur se retrouverait ainsi à gérer les mémoires héritées et acquises de son propre transgénérationnel, ainsi que celles en miroir de son donneur. Ceci peut être une piste d’éclairage de difficultés rencontrées dans certains traitements. “Le corps ne ment jamais”, pour reprendre le titre de l’excellent livre d’Alice Miller, et garde intacte la mémoire de son histoire, même quand le mental n’a pas l’information.

 

L’épigénétique

L’épigénétique montre que notre environnement et nos expériences peuvent influencer l’expression de nos gènes et que certains de ces effets peuvent se transmettre à nos descendants, parfois sur plusieurs générations. Elle étudie les modifications réversibles de l’expression des gènes sans altérer la séquence de l’ADN. Ces modifications (comme la méthylation de l’ADN ou la modification des histones) sont influencées par l’environnement, le stress, le sport, l’alimentation ou des expositions toxiques.

Ces marques épigénétiques peuvent être transmises via les cellules reproductrices (spermatozoïdes et ovules) aux générations suivantes, impactant ainsi la santé ou la vulnérabilité à certaines maladies chez les descendants.

Transgénérationnel vs. intergénérationnel

L’hérédité épigénétique intergénérationnelle concerne les effets directs sur la descendance immédiate (enfants), tandis que l’hérédité transgénérationnelle désigne la transmission de ces marques sur plusieurs générations (petits-enfants, arrière-petits-enfants).

Exemples et preuves

Des études ont montré que des traumatismes, famines ou expositions à des toxiques vécus par les parents ou grands-parents peuvent laisser des marques épigénétiques, retrouvées chez leurs enfants ou petits-enfants, augmentant par exemple leur risque d’anxiété ou d’obésité.

Chez l’humain, les preuves de transmission transgénérationnelle existent, notamment dans des cas de stress extrême ou de famine

Limites et perspectives

Les mécanismes précis et la persistance de ces marques au fil des générations sont en cours de débat scientifique vue l’ampleur du phénomène chez l’humain.

 

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Cette approche est complémentaire aux diagnostics et traitements médicaux de votre médecin traitant ou de l’équipe soignante et institution qui vous suivent.